Des collégiens ont assisté au spectacle « J’ai écrit une chanson pour MacGyver »

Ce mercredi matin, 9 mars 2022, un petit groupe d’élèves volontaires de 4ème et 3ème ont pu assister au spectacle « J’AI ÉCRIT UNE CHANSON POUR MACGYVER » par LE JOLI COLLECTIF / ENORA BOËLLE au Volcan. Un spectacle sur l’adolescence et la grande question du « Qui suis-je ? ». (https://www.levolcan.com/saison/2021/jai-ecrit-une-chanson-pour-macgyver)

Les élèves en parlent …

« Le spectacle raconte l’histoire d’une fille qui cherche à ressembler à des
célébrités américaines et qui cherche à être populaire. Elle voulait être cool et au final elle se rend compte que ce n’est pas ce qu’elle aime être populaire. Elle veut pouvoir être elle-même et ne pas imiter des stars de cinéma. Elle voulait ressembler à Mac Gyver (elle lui avait écrit une chanson), puis à une pompom girl populaire et pourtant ce n’était pas comme ça qu’elle aimait être. »
Mayliane, 3ème 2

« Le spectacle raconte la phase de l’adolescence ainsi que la crise d’adolescence avec un peu d’humour et aussi le fait que l’on cherche souvent à se comparer, être aussi bien que… ou être mieux que… »
Thomas, 4ème 4

« Cette pièce de théâtre exprime le changement du corps ou même le changement d’une personne au moment de l’adolescence. Cela est très instructif pour les adolescents qui vivent cette période radicale. »
Naïla, 4ème 3

« Le spectacle est basé sur l’adolescence et le fait de vouloir ressembler aux autres, critiquer les autres pour se mettre en avant et vouloir un corps parfait pour être populaire. Ma scène préférée est celle où elle danse à une soirée. C’était drôle et bien mis en scène avec les lumières. »

Hawa, 3ème 3

 « Qui suis-je? »


« Une vie différente pourtant familière. « Qui suis-je? ». Je ne le saurais peut être pas, mais j’apprends petit à petit. Ce spectacle résume une période de la vie. Une période difficile. Un imaginaire, une réalité qui se mélange pour  nous construire. On se trompe. On se perd. On se retrouve. On se découvre et on découvre la réalité parfois dure et superficielle. Des stéréotypes? Certes, mais on évolue. Mac Gyver: un rêve, un vœu, on souhaite ressembler à quelque chose, quelqu’un mais on ne l’est pas. »

Mira, 4ème 3

« Le spectacle parle de l’adolescence, du fait de se comparer aux autres et de vouloir absolument être quelqu’un de « cool », spécial, différent et populaire aux yeux des autres alors qu’au fond de nous, nous ne savons pas qui nous sommes réellement. Ce spectacle parle aussi de la confiance en soi, de rabaisser les autres car on refoule des défauts sur nous même. »
Hana, 3ème 3

« Le spectacle parle de l’adolescence, du changement du corps pendant l’adolescence. Il parle aussi de la comparaison avec les célébrités qui ont un corps parfait, les clichés sur le couple
parfait, mais aussi que les blondes sont les plus belles, qu’il faut être cool et populaire. La comédienne parle aussi de tout ce qui est en rapport à l’amour et les hormones. La problématique du spectacle est « Qui suis-je? ». Elle nous a raconté que depuis ses 10 ans elle se regarde dans un miroir en se répétant « Qui suis-je? ». Elle nous parle aussi du fait de se comparer aux autres et de critiquer les autres, de vouloir chercher à être « cool ». Mais, à la fin, on voit bien que la comédienne reste ellemême, elle termine même par danser avec une combinaison verte à paillette au bal de fin d’année. La moral de cette histoire est qu’il faut s’accepter et pas être cool juste pour plaire. »
Layna, 4ème 4

Auteur de l’article : ecolesacrecoeur

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